Depuis l’âge de 4 ans, je fais de la gymnastique. Ce milieu est assez difficile, car il y a beaucoup de concurrence et même nos coéquipières d’un jour peuvent être nos concurrentes un autre jour. J’ai d’ailleurs été victime d’une d’entre elles, et pas n’importe laquelle, la capitaine de mon nouveau club.
L’arrivée dans mon nouveau club
Lorsque j’ai eu 12 ans, j’ai déménagé à Strasbourg, ainsi, ma mère m’a inscrite dans un nouveau club de gym. J’avais assez d’appréhension, car je sais combien il peut être difficile de s’intégrer dans un club où les filles se connaissent bien, mais je ne pensais pas que ma mère et moi aurions fait appel à un détective Strasbourg.
En arrivant au club, la capitaine m’a bien fait comprendre que je n’avais pas ma place dans cette équipe. Tout a commencé le jour où l’entraîneur m’a demandé d’effectuer une des routines que j’avais apprises dans mon ancien club. Je m’exécutais, cependant je ne pensais pas que cette exécution me coûterait un premier semestre infernal dans ce club.
Lisa, celle qui deviendra ma meilleure amie me félicita pour cette routine qu’elle trouva grandiose. L’entraîneur aussi était fier et les autres filles m’applaudissaient. Le cours se déroula et à l’issue de celui-ci je me dis que je pourrais réussir à intégrer cette équipe sans problème. Cependant, arriver dans les vestiaires ce fut la douche froide, Sonia, la capitaine vint me parler et me dit que cette équipe ne sera jamais la mienne. Elle me menaça de quitter l’équipe le plus rapidement possible sinon elle me ferait regretter mon inscription.
Au départ je n’y prêtais pas attention jusqu’au jour où je me suis blessée par sa faute. À ce moment, j’ai décidé (accompagné de Lucie) d’en parler à ma mère qui m’a indiqué qu’elle ferait appel à un détective privé pour prouver à l’entraîneur et la direction que je ne mentais pas.
Résultats
Le détective me posa de nombreuses questions et me demanda de lui montrer les différents messages de menaces que j’avais reçues, ce que je fus. Au bout de quelques semaines, le détective appela ma mère afin de lui indiquer qu’il avait un dossier complet et que je pouvais porter plainte si je le souhaitais.
Comme je ne voulais pas porter préjudice au club en lui faisant de la mauvaise pub, j’ai d’abord voulu parler à la direction. Ma mère et moi sommes alors allés les voir… Tout ce que je peux dire c’est qu’aujourd’hui, je suis moi-même entraîneur et que je veille au bien être de chaque membre de mon équipe.